dimanche, décembre 24, 2006
Joyeux Noël
À vous tous, Joyeux Noël!
À Dido, Bonne anniversaire, également!
À Dido, Bonne anniversaire, également! Incidemment, vous pouvez écouter «Christmas Day», la nouvelle chanson de Dido, sur sa page d'acceuil chez myspace:
jeudi, décembre 21, 2006
jeudi, décembre 14, 2006
Le marketing du film par l’entremise d’Internet: part IV
Le marketing viral des films sur l’Internet
Dans ce type, l’exemple le plus classique n’est que «Le projet Blair Witch ». Sa réussite est grâce à la réaction chimique entre son histoire fictive «En octobre 1994, trois étudiants en cinéma disparaissent dans une forêt du Maryland au cours d'un reportage sur la sorcellerie» , ses rumeurs dérivés de l’histoire et son site web spécialement conçu pour cette fiction. Mais à ce moment-là, presque tout le monde croyait c’était une histoire réelle! Le coût de production de ce film d’horreur se chiffre à 25,000 USD. Le produit final réalise quelques 150 millions de USD au box office. Comme cela, de bouche à oreille, on fait un des films les plus rentables de l'histoire du cinéma.
En réalité, les compagnies savent bien combiner les deux ou les trois stratégies ensemble pour maximiser l’effet. Par exemple, en novembre 2006, le film «Fast Food Nation» met son clip viral sur la plate-forme communautaire de partage de vidéos Dailymotion.
Dans ce type, l’exemple le plus classique n’est que «Le projet Blair Witch ». Sa réussite est grâce à la réaction chimique entre son histoire fictive «En octobre 1994, trois étudiants en cinéma disparaissent dans une forêt du Maryland au cours d'un reportage sur la sorcellerie» , ses rumeurs dérivés de l’histoire et son site web spécialement conçu pour cette fiction. Mais à ce moment-là, presque tout le monde croyait c’était une histoire réelle! Le coût de production de ce film d’horreur se chiffre à 25,000 USD. Le produit final réalise quelques 150 millions de USD au box office. Comme cela, de bouche à oreille, on fait un des films les plus rentables de l'histoire du cinéma.
En réalité, les compagnies savent bien combiner les deux ou les trois stratégies ensemble pour maximiser l’effet. Par exemple, en novembre 2006, le film «Fast Food Nation» met son clip viral sur la plate-forme communautaire de partage de vidéos Dailymotion.
mercredi, décembre 13, 2006
Le marketing du film par l’entremise d’Internet: part III
Le marketing grâce aux communautés fameuses.
Dans l’ère Web 2.0, les communautés en ligne sont devenues un autre champ de bataille pour les compagnies des films. Par exemple, myspace.com dont son slogan est «a place for friends», le phénix dans ce genre, héberge un tas de films sous ses ailes. On croit que si vous y habitez, vous gagnerez haut la main votre réputation! Un bon exemple s’avère le film «Step Up»[1], ce dernier promeut sa page d’accueil chez myspace.com fortement au lieu de construire son propre site officiel ailleurs. Et un autre exemple à propos de www.myspace.com est le film « The Sisterhood of the Traveling Pants »: 53% de visiteurs sur son site official viennent de sa page de bienvenue chez myspace.com.
[1] http://www.myspace.com/stepupmovie
Dans l’ère Web 2.0, les communautés en ligne sont devenues un autre champ de bataille pour les compagnies des films. Par exemple, myspace.com dont son slogan est «a place for friends», le phénix dans ce genre, héberge un tas de films sous ses ailes. On croit que si vous y habitez, vous gagnerez haut la main votre réputation! Un bon exemple s’avère le film «Step Up»[1], ce dernier promeut sa page d’accueil chez myspace.com fortement au lieu de construire son propre site officiel ailleurs. Et un autre exemple à propos de www.myspace.com est le film « The Sisterhood of the Traveling Pants »: 53% de visiteurs sur son site official viennent de sa page de bienvenue chez myspace.com.
[1] http://www.myspace.com/stepupmovie
mardi, décembre 12, 2006
Le marketing du film par l’entremise d’Internet: part II
Les publicités sur les autres sites.
Après avoir construit le site officiel, on doit le promouvoir. Comment? Les pubs, bien entendu!
Ici, on parle des publicités des films plutôt «traditionnelles» : mettre un Flash ou simplement une image avec un lien sur les autres sites - les compagnies des films souvent choisissent les sites des films, comme imdb.com, Yahoo Movies etc. Les sites portails comme MSN, AOL…etc. se font aussi une plate-forme assez important.
Mais Google, le monstre dans le domaine de publicité en ligne, ne partage pas cette gâteau. La raison n’est pas difficile à deviner : personne ne veut pas payer si on a déjà su le mot-clé. Tout le monde peut «googler» directement le site officiel, bien efficacement! Dans ce sens-là, à quoi ça sert le fameux Adsense ou Adwords?
Voici un camembert illustrant comment les sites des films partagent cette petite «cake» :
Source: Hitwise ( juin 2005)
http://www.dmnews.com/cms/dm-news/internet-marketing/33209.html
Après avoir construit le site officiel, on doit le promouvoir. Comment? Les pubs, bien entendu!
Ici, on parle des publicités des films plutôt «traditionnelles» : mettre un Flash ou simplement une image avec un lien sur les autres sites - les compagnies des films souvent choisissent les sites des films, comme imdb.com, Yahoo Movies etc. Les sites portails comme MSN, AOL…etc. se font aussi une plate-forme assez important.
Mais Google, le monstre dans le domaine de publicité en ligne, ne partage pas cette gâteau. La raison n’est pas difficile à deviner : personne ne veut pas payer si on a déjà su le mot-clé. Tout le monde peut «googler» directement le site officiel, bien efficacement! Dans ce sens-là, à quoi ça sert le fameux Adsense ou Adwords?
Voici un camembert illustrant comment les sites des films partagent cette petite «cake» :
Source: Hitwise ( juin 2005)http://www.dmnews.com/cms/dm-news/internet-marketing/33209.html
lundi, décembre 11, 2006
Le marketing du film par l’entremise d’Internet: part I
Le site officiel, un élément standard.
De nos jours, si un film n’a pas son site officiel, cela fera une grande bizarrerie. C’est une stratégie assez naturelle et élémentaire pour promouvoir un film. Par exemple, pour satisfaire les besoins des cinéphiles, la compagnie «New Line Cinema»[1] construit un site plutôt grandiose correspondant les trois volets des films «The Lord of The Rings»[2]. À part des informations générales(scénario, photos, fonds d'écran, bandes-annonces…etc), on peut également trouver pleins de clips exclusifs! Ces derniers ne pas font partie des longs métrages, ni des DVD! On donc peut imaginer l’achalandage des cinéphiles. Profitant cette situation archi-comble, «New Line Cinema» met pleins de trucs pertinents avec ces trois films dans son magasin en ligne, par exemple, un foulard «Lord of the Rings Hobbit» coûte $64.95.[3]
[1] http://www.newline.com/
[2] http://www.lordoftherings.net/
[3] http://shop.newline.com/cat/Lord-of-the-Rings/Lord-of-the-Rings-Hobbit-Scarf.html
De nos jours, si un film n’a pas son site officiel, cela fera une grande bizarrerie. C’est une stratégie assez naturelle et élémentaire pour promouvoir un film. Par exemple, pour satisfaire les besoins des cinéphiles, la compagnie «New Line Cinema»[1] construit un site plutôt grandiose correspondant les trois volets des films «The Lord of The Rings»[2]. À part des informations générales(scénario, photos, fonds d'écran, bandes-annonces…etc), on peut également trouver pleins de clips exclusifs! Ces derniers ne pas font partie des longs métrages, ni des DVD! On donc peut imaginer l’achalandage des cinéphiles. Profitant cette situation archi-comble, «New Line Cinema» met pleins de trucs pertinents avec ces trois films dans son magasin en ligne, par exemple, un foulard «Lord of the Rings Hobbit» coûte $64.95.[3]
[1] http://www.newline.com/
[2] http://www.lordoftherings.net/
[3] http://shop.newline.com/cat/Lord-of-the-Rings/Lord-of-the-Rings-Hobbit-Scarf.html
dimanche, décembre 10, 2006
samedi, décembre 02, 2006
Pandora fait son premier podcast!
Pandora, ma radio en ligne favorite, a lancé son premier podcast il y a quelques jours…c'est un podcast vraiment génial...courez-y!
Mais en fait, ce n’est pas simplement une radio…
Peut-être vous avez bien connaissez Pandora, si c’est le cas, vous pouvez ignorer les mots suivants :
Grâce au «Music Genome Project», on peut s’amuser dans le monde musical en ligne, gratuitement! En plus, toutes les musiques que vous aimez!
«Pandora is a music discovery service designed to help you find and enjoy music that you'll love. It's powered by the Music Genome Project, the most comprehensive analysis of music ever undertaken. Just tell us one of your favorite songs or artists and we'll launch a streaming station to explore that part of the music universe. »
Comment cela fonctionne?
D’abord, vous ajoutez «une radio», par exemple, «la radio Sade». Pandora va vous recommander toutes les musiques dans leur base de données, selon leurs critères (ex.: même type que Sade). Vous pouvez également donner votre réponse sur chaque recommandation, c’est-à-dire «j’aime beaucoup, donnez-moi plus de musiques comme cela!» ou «je n’aime pas!», dans le second cas, la musique va être sautée pour jouer la suivante…
Vous pouvez aussi ajouter une radio par une chanson, par exemple, «la radio ’another day in paradise’». Pandora va identifier les génomes de la chanson, comme la vitesse, la tonalité du chanteur, le type d’harmonie, etc.… Par exemple, pour la chanson «another day in paradise», on peut voir ses attributs : «mellow rock instrumentation», «a subtle use of vocal harmony», «minor key tonality», «a dynamic male vocalist», «prominent use of synth», «subtle use of fender rhodes», «political lyrics»…
Évidemment, ce système peut vous recommander les musiques dont le même type vous avez choisi.
S'abonner à :
Messages (Atom)
