mardi, novembre 21, 2006

«Little Children»

Quand le générique parut à l’écran et les lumières furent allumées, je me dis «déjà?! J’espère qu’il peut toujours continuer». Généralement, à mes expériences, il y a deux possibilités pour générer les sentiments lors de la dernière note du film : films d’actions ou film d’horreur - hyper intense, ultra défoulant, ou peut-être super effrayant, vous n’avez pas de temps pour penser à des autres affaires, comme «saw», «banlieue 13» ou «crank»; le 2ème cas, comme notre sujet d’aujourd’hui, demeure être fortement empathique pour les spectateurs. On oublie où on se trouve. On oublie qui on est. On entre complètement dans le monde que les créateurs construirent.

Ce monde me semble comme un pays dans un conte de fée, qui est spécialement conçu pour nous les adultes. Puisqu’on parle du conte, ll y aurait toujours des méchants dans ce genre d’univers. Mais les «bad guys» dans ce film-là, ce sont vraiment des méchants? Je ne pense pas. Les critères ne sont pas toujours assez claires dans la vie réelle, des fois dans le conte non plus. Et le prince puis la princesse? Ils ne s’avèrent pas sages du tout. L’adultère? C’est le petit mot dont on parle? Mais enfin ils apprennent la morale de la leçon de vie.

Ils sont donc tous les enfants espiègles, selon moi. Probablement, c’est aussi la raison pour laquelle ce long métrage est baptisé du titre de «Little children»?

Ce n’est pas la peine de parler des acteurs et des actrices, Kate Winslet, Patrick Wilson, Jennifer Connelly…ils sont tous merveilleux. La photographie, la musique et les dialogues…à mon humble avis, ils sont 100% harmonieux.

En somme, dix sur dix!

J’ai hâte de l’écouter pour la deuxième fois.

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